Table des matières:

Championnat du monde d'enduro 2009, cinquième manche : Slovaquie
Championnat du monde d'enduro 2009, cinquième manche : Slovaquie

Vidéo: Championnat du monde d'enduro 2009, cinquième manche : Slovaquie

Vidéo: Championnat du monde d'enduro 2009, cinquième manche : Slovaquie
Vidéo: Enduropale du Touquet 2020 : le Quaduro en intégralité 2024, Mars
Anonim

Le cinquième test de la Championnat du monde d'enduro Il s'est joué dans de très mauvaises conditions, à cause de la pluie qui a transformé les pistes en véritables vasières, mettant tous les coureurs en difficulté.

Beaucoup d'entre eux ont dû partir, et les Espagnols, toujours très actifs dans toutes les épreuves, ont rencontré d'énormes difficultés car ils n'ont pas su s'adapter au terrain. Même Ivan Cervantès, le pilote de référence pour l'Espagnol, n'a pas pu améliorer une cinquième place.

Simoni Albergoni
Simoni Albergoni

Enduro 1

un autre pour Mika Ahola (Honda) le premier jour. Si Simone Albergoni (KTM), spécialiste comme peu de terrain boueux, était très actif en début de journée, peu à peu il a perdu du temps jusqu'à terminer troisième. Antoine Meo (Husqvarna), a de nouveau tenté de jouer le rôle de tueur de géant, mais il n'a pas pu l'être et a de nouveau terminé deuxième en fin de journée.

Dimanche, la pluie a donné une petite trêve et aussi, l'organisation a travaillé dur la nuit pour détourner le parcours des marches qui étaient en plus mauvais état. La bataille entre Ahola et Albergoni rappelle l'épreuve précédente, où ils ont atteint le dernier extrême séparés d'une seconde. Et encore Mika a gagné. Albergoni s'est à nouveau fané en fin de journée, cédant la troisième place à Thomas Oldrati (KTM).

Jonny Aubert
Jonny Aubert

Enduro 2

La catégorie Enduro 2 a été celle qui a ouvert le terrain, et ainsi, les premiers pilotes ont roulé sur des terrains vierges, ce qui a favorisé la traction des vélos sur l'état extrêmement compliqué du sol. C'était la stratégie de Bartosz Oblucki (Husqvarna), qui restait en tête jusqu'au dernier extrême, où il commettait une faute au franchissement d'une bille, abandonnant la tête et la victoire du jour à Johnny Aubert (KTM), tandis que Joakim Ljunggren (Husaberg) a terminé troisième.

Le deuxième jour, Bartosz a de nouveau dominé la première partie de l'épreuve. Mais plus tard, alors que le sol s'asséchait, Johnny Aubert Il a pu utiliser toute la puissance de sa moto, remportant le test. Juha Salminen (BMW) complète le podium, et il s'implique de plus en plus avec la moto allemande.

Samuli Aro
Samuli Aro

Enduro 3

Le seul qui ne semblait pas affecté par la pluie était Christophe Nambotin (GAS-GAS), qui s'imposait avec autorité dans la catégorie reine. Samuli Aro (KTM) n'a pas eu beaucoup de mal à conserver la deuxième position tandis que la troisième est devenue une bagarre entre le local Stefan Svitko (KTM) et Marcus Kehr (KTM), se résolvant en faveur du premier, pour le plus grand bonheur de son public. Iván Cervantes a terminé cinquième, mais très heureux, car dans cette épreuve, il y avait plus à perdre qu'à gagner.

Le lendemain, Christophe Nambotin réalise à nouveau une belle course, suivi de près par Samuli Aro. Troisièmement, Marcus Kehr, montrant que la lutte qu'il a menée pour la troisième place la veille n'est pas le fruit du hasard. Cervantes a répété la cinquième place, préservant ainsi le leadership du championnat du monde.

Junior

Les combats entre Jeremy Joly (Honda) et Oriol Mena (Husaberg) commencent à être épiques dans cette catégorie. Cette fois, il a été résolu en faveur des Français et par une marge à laquelle nous ne sommes pas habitués.

Dimanche, Oriol a décidé d'attaquer en décrochant la victoire devant Mirko Gritti (Beta) et Jeremy Joli, se rapprochant du titre mondial.

Meilleurs moments:

Regardez la vidéo sur le site d'origine.

Conseillé: