Table des matières:
- BMW C 650 GT, le monde est trop petit pour nous sur l'autoroute
- BMW C 650 GT, le passager, aussi choyé ou plus que le pilote
Vidéo: BMW C 650 GT, essai (conduite sur autoroute et passager)
2024 Auteur: Nicholas Abramson | [email protected]. Dernière modifié: 2024-02-10 22:53
C'est le moment de se détendre après une intense séance de courbes aux commandes du BMW C 650 GT et pour cela, rien de mieux que de le mettre dans son environnement, c'est-à-dire un autoroute avec peu de circulation et de tracé légèrement sinueux pour que nous puissions nous consacrer à profite de la vue.
La première chose, s'allonger confortablement sur la plateforme, en étirant au maximum les jambes et en laissant nos reins se détendre à nouveau en s'appuyant sur le dossier moelleux. Et ce qui suit est relever l'écran électrique tout est possible pour obtenir la meilleure protection contre l'air en roulant à la vitesse maximale autorisée sur ce type de route.
BMW C 650 GT, le monde est trop petit pour nous sur l'autoroute
Je calcule que tous ces pilotes jusqu'à 1,85 haut ils seront parfaitement protégés derrière le dôme. Ceux d'entre nous qui sont un peu plus grands, nous devons jouer avec la position optimale pour que l'air déplacé heurte correctement le casque et aide à pénétrer de la meilleure façon.
Il n'y a aucune turbulence d'aucune sorte puisque l'écran, dès qu'il s'élève, laisse passer l'air en dessous, égalisant la pression des deux côtés. De plus, la forme arrière du BMW C 650 GT garantit que nous n'avons pas du tout de sillage accusé derrière notre dos, minimisant le battement gênant des vêtements lorsque nous roulons à grande vitesse. En option, BMW propose déflecteurs Ils sont placés sur le pare-brise et permettent de diriger plus ou moins d'air vers la zone du conducteur.
Déjà en train de rouler, la stabilité est encore superbe. Il n'y a aucun tangage d'aucune sorte même si les courbes sont à grande vitesse et que l'on passe par les joints de dilatation ou les baignoires toujours dangereux. Côté puissance, il y en a. Il suffit de voir qu'en le laissant tomber à 90-100 km/h dans une zone en montée à trois voies, on ouvre à nouveau les gaz à fond et on reprend aussitôt de la vitesse. Et tout cela en plus sans chocs brusques dans la transmission.
Pour que vous puissiez imaginer la puissance qui est capable de développer le BMW C 650 GT, sa vitesse maximale réelle est 175 km/h ce qui se traduit par 180 km/h de marqueur, coïncidant avec le dernier chiffre inscrit sur le compteur de vitesse. Même le moteur coupe à cette vitesse donc si quelqu'un va avec pour circuler sur les autoroutes allemandes, vous arriverez à destination plus rapidement que vous ne le pensiez.
Ici, nous trouvons sans aucun doute la vraie place de la BMW C 650 GT, où vous pouvez vraiment vous amuser à vos commandes. Le temps semble s'arrêter et il arrive un moment où l'on oublie que l'on voyage en scooter. La réalité s'en rend compte lorsque j'entre à nouveau dans la ville et que tout ce que j'ai à faire est de me concentrer sur l'accélération et le freinage, en laissant les changements de vitesse à la vitesse. Transmission CVT, doux et précis même si la transmission finale est par chaîne, ce qui pourrait faire penser à des réactions de transmission plus dures.
BMW C 650 GT, le passager, aussi choyé ou plus que le pilote
Cette fois, je n'ai pas pu compter sur le testeur officiel du siège de la peur donc je vais devoir vous dire ce que j'ai pu observer dans le BMW C 650 GT. L'espace passager est ample, avec deux grandes poignées sur les côtés pour s'y accrocher. Vos pieds reposent confortablement sur la plate-forme, avec beaucoup d'espace pour les poser. S'il est vrai que si le passager a de grands pieds, il y a de fortes chances que le pilote arrive à frapper la zone des orteils avec ses mollets à l'arrêt aux feux de circulation.
Dans la version prévue pour tester le BMW C 650 GT, sur le côté droit du siège, il y avait un interrupteur pour que le passager puisse actionner le siège chauffant à volonté. Comme le pilote, qui est actionné à partir d'un bouton sur le côté droit et le poignées chauffantes, qui sont également contrôlés à partir d'un autre bouton avec la même main. Ces deux derniers ont trois modes de fonctionnement: niveau 1, niveau 2 et AUTO.
Les deux premiers n'ont pas besoin de beaucoup d'explications, mais la VOITURE oui car c'est une nouveauté de chez BMW. Lorsqu'on active cette position, que l'on voit parfaitement indiquée sur le tableau de commande à gauche du compte-tours, le système régule automatiquement la température des poignées et du siège dans la zone du conducteur en fonction de la température ambiante et de la vitesse du scooter.
Le chauffage est activé à partir d'un + 8°C température extérieure. Le degré de chaleur est minime au début et augmente automatiquement à mesure que la température extérieure diminue. Les performances de chauffage en mode AUTO sont maximum si la température descend à - 15°C.
Pendant la visite du matin, la température était un peu basse et j'en ai profité pour utiliser les deux systèmes, et si j'étais déjà à l'aise allongé dans le fauteuil sur l'autoroute, imaginez avec vos mains et vos fesses chaudes. Si je suis négligent, je finis par faire une sieste et tout.
Pour aujourd'hui je ne vous dirai rien d'autre, demain nous parlerons des conclusions et de quelques détails qui ne manqueront pas d'être laissés dans le pipeline, ainsi que de la fiche technique et de la galerie photo.
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